• la dame blanche

    origine:

    Un jeune couple qui venait de se marier quitte la fête, et roule à toute allure vers l'hôtel pour y passer leur première nuit ensemble. La fête battait son plein, et le jeune homme au volant est plutôt joyeux... Mais dans un virage, leur voiture s'écrasa au fond d'un fossé. Le jeune marié n'y survivra pas, et sa femme a été portée disparue. Depuis ce tragique accident, on dit que tard le soir, on peut apercevoir une dame vêtue de blanc  aux abords d'un tournant, qui attend son mari.

    Les dames blanches



    Ce samedi soir de décembre 1979, Michel P. s'en souviendra longtemps. Comme tous ceux qui, sur les routes de France, de Belgique, d'Allemagne, de Suisses, ont eu de la chance - ou la malchance -, de prendre à bord de leur véhicule l'une de ces énigmatiques auto-stoppeuses fantômes.

    Il est près de minuit. Michel, de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme de vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche très années 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.

    A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stoppe, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à se remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, le temps qu'il a passé en compagnie de cet être venu d'ailleurs n'a pas excédé quelques minutes. Mais il est des apparitions plus longues!

    Affaires locales

    C'est la cas de la "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados). Stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.

    L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non plus inactive, debout sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...

    Froide comme du marbre

    Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.

    Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture. Ce fut le cas à Chapareillan (Isère). Là, sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.


  • Commentaires

    1
    Salianna
    Mercredi 13 Décembre 2006 à 20:20
    Chouette !
    Ces histoires sont toutes très palpitantes, mais il faut avouer que l'orthographe laisse à désirer
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    laura
    Lundi 28 Mai 2007 à 12:25
    je ne sais pas si cela est en rapor avec la dame blanche.....
    c'Etai il y a un an environ en hiver il fesait tr�¨s froid dehor.mon petit ami etait chez moi. sur les cou de 11h du soir nou decidons d'aller chez des amis ou nous devions dormir.nou preparons nos affair mettons nos blousons et gants . nous n'avions enkor qu' un scooter pour nous deplacer.ce soir la j'etais tres engoisse kom si mon keur etait presse,je ne voulais pas y aller kar il fesait tro noir.30min plu tar nou voila enfin parti ,il conduisai et moi jetait tre inkiete alor je metait penche sur ma droite pour avoir la route a ma vue .mon ami est tres fier et pas du tout croyant en c choses la �  l inverse de moi;je suis tres curieuse mai je ne pratique absolument rien.nous venions de fer anviron 5km et etions frigorifie lorsk sur une route noir san bruit a 10 metre d un virage je vi une ombre tre blanche environ longue de 1metre froler nos visages en passan de gauche a droite a tte allure qui s'accompagner d'un cri strident tre aigu d'une femme qui ave peur me tou cele ne dura q'une seconde je presume.je pensai etre la seule a l avoir vu mai a linstan ou je vu ce truc etrnge mon ami a piler croyan meme que l on avai creve.moi je nave tjr pa parle jave l impression d'avoir mon keur mon cor compresse et jai u tré peur.et mon copin pri ma main alor k jete agripe a son ventre et me di; c pa grav ferm les yeux je suis la ne tinqui�©te pa.c la ou je me di k je navai pa u une alucination.l ambiance ete tr�© froide un gran silence.il me tenai la main �© me di:tu la vu? JE r�©pondi oui. �© lui me dit:tu la entendu? ....oui.je lui demande alor keskil a entendu et il ma d�©cri ce ke moi javai exactemen vu �© entedu.je me suis mise a pleur�© j�©t�© panik�© .j'ai pass�© la soir�© panik�© ds ces bra ch�© nos amis et lui av�© �©t�© impr�©ssion�©.nou n 'avon pa racont�© cette istoir a bcp de monde mis a par m�© paren et les siens kar lui ni croy�© pa et pourtan sa lui est tomb�© dessu.ojourdui il y reflechi a 2foi �© me rassur a chak foi ke lon pren la route en pleine nuit.kar je ne pense pa men remetre un jour..
    3
    Mardi 19 Février 2008 à 11:20
    mariage de dame blanche
    il y a un soir la dame blanche se maria et quand il voulait rentrer chez eux le marier tourna au mauvais moment et ils etait dans une forêt et ils voyait quelqu'un courire et la poursuivait et rentras dans sa maison et la dame blanche surjat et les tuas!
    4
    inès
    Mardi 29 Avril 2008 à 15:12
    la dame blanche
    comment s'appelle la dame blanche et es vrai qu'elle s'appelle Matilde
    5
    inès
    Mardi 29 Avril 2008 à 15:12
    la dame blanche
    comment s\'appelle la dame blanche et es vrai qu\'elle s\'appelle Matilde
    6
    barrere
    Samedi 3 Mai 2008 à 04:40
    LA DAME BLANCHE
    une fois jai toucher la dame blanche et elle ma assasiné et mes parents aussi ont etait assasiné si vous ete tout seule vous dirai 5 fois dame blanche devant le miroir en neteignon la lumière
    7
    lea
    Dimanche 18 Mai 2008 à 09:28
    la gentil dame blanche
    il faut arreter de dir que la dame blanche est mméchante parce que peutetre quellle est gentil !!!!!
    8
    ISABELLE ET EDGAR
    Vendredi 18 Juillet 2008 à 10:26
    Dame blanche
    Bonjour, Je m'appelle Isabelle et j'ai eu un accident il y a peu de temps. Le 04 Juillet 2008 j'étais sur la rocade de Bordeaux et j'emmenais mon fils à la gare car il partait en colonie... Puis à un moment donné je n'ai pas compris mais yeux se sont mis à trembler et j'ai senti en grande fatigue alors qu'il était 08h00 du matin et que j'avais bien dormie, jusqu'à ce moment là tout se passait bien et puis j'ai perdu l'usage de mes yeux un instant et mon fils et moi avons eu un accident. Depuis Edgar mon fils de 8 ans me raconte qu'il à vu une forme de femme qu'il dit blanche sans visage, il m'a prévenu quelques instants avant mais je n'ai pas compris ce qui c'est passé. Aujourd'hui il me raconte avec précision se qu'il à vu juste avant notre accident. Mon fils n'a jamais cru en se genre de fénomènes mais il est si précis dans son discours que je le croit car ce n'est pas son genre d'inventer des histoires pareilles. Voilà !!!!! Nous avons été rapatrié par l'ambulance. Nous n'avons pas été blessé mais d'après la gendarmerie cela est incroyable vu l'état de la voiture. Je crois mon fils, car ce n'est pas la première fois que cela arrive. Notre voiture est partie en épave et lorsque je suis retournée voir mon véhicule le garagiste n'en croyait pas ses yeux. Peut-on prendre cela comme un avertissement, car il y a 17 ans j'ai failli perdre la vie dans un grave accident... que puis-je en penser ? Mon fils est sain et sauf, voilà ce qui est le plus important. Isabelle
    9
    Lundi 21 Juillet 2008 à 13:11
    LA DAME BLANCHE
    barrer jc pa commeen vous avez pu faire pour écrire se texte si vous etes assassiné comme vous le prétendez un peut plus haut!
    10
    Lundi 21 Juillet 2008 à 13:12
    LA DAME BLANCHE
    barrer jc pa commeen vous avez pu faire pour écrire se texte si vous etes assassiné comme vous le prétendez un peut plus haut!
    11
    Lindsay
    Dimanche 26 Octobre 2008 à 11:19
    la dame blanche
    Elle existe mais il faut savoir que si on se met vraiment à croire à elle elle va en profiter et jouer avec nous comme avec des poupées alors soyez calme. Tout mes encouragements à ce qui l'ont vu et qui ne peuvent pas s'en remettre.Bonne chance!!!! Lindsay
    12
    Lindsay
    Dimanche 26 Octobre 2008 à 11:19
    la dame blanche
    Elle existe mais il faut savoir que si on se met vraiment à croire à elle elle va en profiter et jouer avec nous comme avec des poupées alors soyez calme. Tout mes encouragements à ce qui l\'ont vu et qui ne peuvent pas s\'en remettre.Bonne chance!!!! Lindsay
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    Lindsay
    Dimanche 26 Octobre 2008 à 11:20
    la dame blanche
    Elle existe mais il faut savoir que si on se met vraiment à croire à elle elle va en profiter et jouer avec nous comme avec des poupées alors soyez calme. Tout mes encouragements à ce qui l\\\'ont vu et qui ne peuvent pas s\\\'en remettre.Bonne chance!!!! Lindsay
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    Samedi 10 Janvier 2009 à 13:30
    Dame Blanche
    L'Enigme de la Dame Blanche par Stephan LEWIS 12 juin 2002 ... Il est un peu plus de vingt deux heures ... Un sexagénaire à l’aspect distingué reflétant visiblement le flegme britannique, roule tranquillement pleins feux au volant de sa Jaguar E sous un ciel piqueté d’une myriade d’étoiles vers Lavelanet, petite commune de l’Ariège, région Midi-Pyrénées. Il vient de dépasser la bretelle de Foix et il ne lui reste qu’une dizaine de kilomètres à parcourir. D’un geste machinal, notre homme allume la radio et prête une oreille distraite aux nouvelles condensées, que donne une speakerine à la voix agréable. La nuit est lumineuse, l’air tiède et malsain. Le véhicule vient de négocier un virage serré, lorsque dans le faisceau de ses projecteurs le chauffeur distingue une forme blanche plantée au milieu de la chaussée à moins d’une cinquantaine de mètres de distance. Surpris, il décélère jusqu’à stopper à hauteur d’une jeune fille toute de blanc vêtue. Il fait aussitôt coulisser sa vitre... - Bonsoir mademoiselle ... Vous allez vous faire renverser ! Que faites-vous donc par ici à pareille heure ?... s’étonne ce dernier en s’exprimant avec un léger accent anglo-saxon. - Je me rends à Lavelanet... Pouvez-vous m’emmener enville ? C’est là que j’habite... indique la jeune personne d’une voix sourde et mécanique, dont le visage reflète une pâleur des plus singulières. Avec un léger haussement d’épaules, le conducteur lui retourne un sourire pincé, mais indulgent. Il s'incline pour lui ouvrir galamment la portière et l’invite à s’installer sur le siège avant. Puis le véhicule poursuit aussitôt sa route... Chemin faisant, notre homme détaille furtivement sa passagère à la dérobée, d’un œil réservé et discret par-dessus ses petites lunettes qu’il porte sur le bout du nez ... 19-20 ans. Vêtue d’une robe blanche très années 60. Plutôt agréable à regarder, bien que curieusement pâlotte et ... peu bavarde, ne soufflant même le moindre mot ; l’autoradio qui diffuse un programme de musique légère meublant à lui seul cette morne atmosphère. Le chauffeur fait encore quelques tentatives pour nouer conversation, mais ses efforts demeurent toutefois infructueux, sa passagère ayant adopté une passivité quasi alarmante. Elle demeure inexplicablement silencieuse et immobile, un peu raide sur son siège, étrangement indifférente à tout ce qui l’entoure, presque absente. Ils roulent depuis maintenant une dizaine de minutes. Un silence gênant, presque pesant règne à bord, lorsqu’une pluie tiède et pénétrante se met soudainement à tomber avec une extrême violence. De grosses gouttes s’écrasent sur le pare-brise, alors que la berline vient de dépasser le panneau signalant leur destination. La pluie s'abat en un véritable déluge, comme si une main géante avait ouvert un titanesque robinet. Une bourrasque souffle même soudainement sur la commune, tandis que la Jaguar emprunte la rue totalement désertée, éclairée succinctement par quelques enseignes au néon restées allumées. La jeune fille désigne bientôt une habitation à peine distincte, perdue au fond d’un grand parc. - C’est ici que j’habite... indique-t-elle d’une voix plutôt froide en remuant à peine les lèvres. N'y accordant aucune attention particulière, le conducteur lui propose courtoisement son imperméable, le temps pour sa passagère occasionnelle d’aller quérir un parapluie afin d’être en mesure de lui restituer son bien. Sans la moindre formule de remerciement pour son bienfaiteur, elle a jeté le vêtement de pluie sur ses frêles épaules avant de se diriger d’un pas lent vers le lourd portail qui s’est ouvert en grinçant sinistrement. Puis, elle s'est fondue dans la nuit. Son moteur tournant au ralenti et après avoir essuyé la buée qui se déposait sur la vitre d’un revers de la main, le chauffeur enfonce une allumette craquante dans le fourneau de son brûle-gueule. Il décide de patienter en écoutant distraitement la radio, sous l’égrenage incessant des va-et-vient monotones de ses balais d’essuie-glace qui se sont emballés pour chasser le voile hydrique ruisselant en continu sur le pare-brise. La rue est à présent balayée par des trombes d’eau qui se déversent sur la bourgade prise au sein d’un violent orage. Dix minutes se passent au cœur d’un silence seulement troublé par les battements de la pluie torrentielle qui a redoublé d’intensité, sans que la jeune fille n’ait refait son apparition. Après avoir réprimé un mouvement d’impatience assorti d’un soupir de lassitude, le conducteur s'est rangé prudemment sur le côté de la chaussée contre la bordure du trottoir, avant de couper les gaz et d'éteindre ses phares. Puis, il relève frileusement le col de son veston pour se ruer, la tête rentrée dans les épaules, sous la pluie battante et le vent qui souffle en rafales, en direction du portail resté entrouvert. Il traverse à présent le parc d’un pas pressé en frissonnant dans la nuit froide. Après avoir gravi les quelques marches menant au perron de l’habitation, il a trouvé refuge sous le porche protecteur de la porte d’entrée. Un léger trait de lumière filtre à travers les volets de l’une des grandes baies vitrées. Avec un geste d’humeur, il s’éponge succinctement le visage, chasse nerveusement une mèche rebelle collée sur son front partiellement dégarni et essuie précautionneusement les verres de ses binocles. Sa redingote ruisselle de pluie, aussi se décide-t-il sans plus attendre et au risque qu’on le prenne pour un importun, à utiliser la sonnette ... - Quel toupet !... murmure-t-il entre les dents... La jeunesse d’aujourd’hui est d’une ingratitude ! Le parc vient de s’illuminer, dévoilant ses pelouses verdoyantes et les massifs fleuris qui le tapissent… Mais la porte s'entrouve craintivement sur un homme âgé et squelettique, au faciès en lame de couteau et aux cheveux blancs. Il porte un vêtement d’intérieur. La mine étonnée et méfiante qu’il affiche ne surprend pas outre mesure son visiteur, étant donné l’heure avancée de la nuit. - Cher monsieur, pardonnez mon intrusion à cette heure tardive ... s’excuse ce dernier sur un ton empressé en prenant un air navré assorti d’un sourire gaufré... J’aurais souhaité récupérer la gabardine que j’ai prêtée il y a un quart d’heure à la jeune personne que je viens de déposer. Le vieil homme le dévisage d’un air interloqué à l’instant où surgit à sontour une femme d’un âge avancé, certainementl’épouse venue à la rescousse. Elle lui retourne elle aussi un regard sans équivoque, empreint d’une évidente suspicion. - Il n’y a aucune jeune personne ici... rétorque le vieillard d’une voix sèche et courroucée, visiblement sur ses gardes... Vous devez vous tromper d’adresse monsieur. Il y a assurément erreur... ajoute-t-il d’un air farouche en ébauchant même un geste d’indifférence, voire de mauvaise humeur. Poussée par une main rageuse, la porte a claqué au nez de ce visiteur visiblement indésirable. L’attitude du maître de maison, aussi inconvenante qu’inattendue, a pour conséquence d’exaspérer notre homme, lui faisant même perdre une bonne partie de son flegme naturel. Après avoir haussé les sourcils et s’être difficilement contenu, il ne renonce pas pour autant, mais fait aussitôt une seconde tentative avec un air déterminé. Et la sonnette tinte une nouvelle fois... La porte s’est de nouveau ouverte sur le maître de maison, visiblement agacé. Son visage est empourpré du rouge d’une colère naissante et reflète à présent la mauvaise humeur. Sa voix se hausse même au diapason de l’exaspération ... - Que voulez-vous enfin monsieur ! ... Permettez-moi de vous faire remarquer que votre insistance s’avère des plus déplacées ! Allez-vous continuer encore longtemps cette plaisanterie de mauvais goût ?... fulmine-t-il, exaspéré, saisi d’un énervement manifestement incontrôlable. L’autre paraît littéralement secoué par la surprise... - Calmez-vous mon ami ! Je m’excuse encore une fois de devoir vous importunerde la sorte et je conçois parfaitement l’incongruité de ma visite à pareille heure. Mais j’ai cru faire plaisir à cette jeune personne qui errait sur la route en la ramenant chez elle. Avec ce fichu temps, je lui ai même prêté mon imperméable. Et voici le résultat !... argumente ce dernier en se passant une main agitée sur ses vêtements mouillés. - J’habite seul ici avec mon épouse... s’emporte maintenant le vieil homme sur un ton irrité et peu amène, assorti d’une agressivité à peine masquée... Vous n’allez quand même pas nous rejouer cette comédie à tour de rôle ! - Que voulez-vous dire ? - Ne faites donc pas l’innocent ! Il y a plus d’un mois que cette mauvaise farce persiste ! ... Et à chaque fois qu’il pleut !... indique-t-il avec âcreté, la moue exaspérée, en tendant un doigt accusateur en direction de celui qu’il considère certainement comme un plaisantin de mauvais goût, flanqué d’un importun personnage. - Mais ... Je vous assure que je ne comprends pas ! - Bon ... Je veux bien vous croire... admet enfin le vieillard d’une voix soudain déconfite, assortie d’un soupir d’énervement... Vous êtes peut-être sincère après tout. Mais rendez-vous compte ! Vous êtes la quatrième personne à nous réclamer soit un parapluie, soit un ciré, ou encore un imperméable prêtés à je ne sais quelle jeune personne censée habiter cette demeure ! Devant l’air ahuri affiché par son interlocuteur de passage, le maître de maison paraît cette fois perplexe. Sa lèvres’est gonflée en une moue d’ennui. Il semble tout à coup enclin à demeilleures intentions. Le ton employé s’est même subitement radouci ... - Bon... Entrez ... Nous serons mieux à l’intérieur ... Quel temps de chien ! Et cette maudite bourrasque ! Pardonnez mon emportement, mais nous sommes sur les nerfs. Si cette plaisanterie au demeurant stupide persiste, nous finirons par aller déposer une plainte au commissariat. - Je vous certifie pourtant avoir vu cette jeune personne s’introduire dans votre propriété et je puis vous assurer qu’elle n’en est pas ressortie. Je suis formel... insiste le visiteur. - Nous ne comprenons rien à cette comédie... confie à présent l’homme d’une voix crispée, visiblement au comble de la contrariété... Et je vous garantis que personne, à part vous, n’est entré ici ce soir. Ils sont à présent dans le couloir. Le visiteur a croisé le regard hostile de la femme qui, sans la moindre indiscrétion, a retourné un œil désapprobateur envers son époux, lui signifiant certainement par là qu’il avait eu tort d’ouvrir leur demeure à cet étranger dont elle désapprouve visiblement la présence, la jugeant même manifestement désobligeante. - Permettez au moins que je me présente... suggère toutefois ce dernier, plutôt confus, en lui adressant un sourire contraint, conscient de jouer ici et involontairement le rôle de l’intrus, de l’indésirable... Je suis le professeur Joseph Winter. Je reviens d’un congrès qui s’est déroulé à Perpignan et ... - Le professeur Winter ! Le célèbre archéologue ! J’aurais dû vous reconnaître ! On parle si souvent de vous à la télévision et dans les journaux... s’enthousiasme subitement le mari d’une voix confuse, la mine soudain penaude... Vous êtes Britannique n’est-ce-pas ? Mais vous possédez une propriété près d’ici. A Montségur, si je ne m’abuse ?... et le vieil homme semble à présent ne plus vouloir tarir d’éloges sur son visiteur. - J’étais justement en route pour regagner mes pénates... précise ce dernier avec un sourire discret, à la fois soulagé et visiblement satisfait de la notoriété dont il semble jouir en ces lieux. - Excusez-nous professeur, mais depuis quelque temps, nous sommes devenus méfiants... s'empresse de bredouiller à son tour la femme, au terme d'un silence gêné... Pas plus tard que la semaine dernière, un jeune homme d’une vingtaine d’années peut-être, plutôt vulgaire d’ailleurs, nous a dérangés à peu près à la même heure pour nous conter à peu de chose près les mêmes faits, alors qu’il faisait également un temps épouvantable. Il prétendait lui aussi avoir raccompagné une jeune femme jusqu’à la grille du parc et lui avoir prêté son parapluie. Cette jeune personne l’aurait aussi prié d’attendre qu’elle revienne avec le sien pour lui restituer son bien. - C’est étrange ... vous me dites que les conditions climatiques étaient identiques à cette nuit... relève Winter, perplexe. - Je vous prépare une tasse de thé professeur. Cela aidera peut-être à vous faire oublier notre emportement... propose cette fois la femme, devenue soudainement prévenante, invitant même son visiteur à pénétrer dans la salle à manger avec un geste d’insistance. Winter consulte rapidement son bracelet-montre... - Vous êtes très aimable chère madame ?... observe-t-il en esquissant un sourire d’amabilité, butant volontairement sur le patronyme. - Devaux ... Monsieur et madame Devaux... se hâte de préciser le mari. - Je vous remercie de votre obligeance madame Devaux, mais j’ai déjà perdu un temps précieux et vous m’en voyez sincèrement navré. Je ne puis m’attarder davantage ... Tant pis pour ma gabardine. Il faut croire que cette jeune personne qui vous joue cette farce collectionne, à votre insu, les vêtements et les accessoires de pluie... présume Winter avec un sourire contraint... N’excluons toutefois pas la possibilité d’une plaisanterie d’un goût dirons-nous ... douteux. Mais enfin ... Sans autre commentaire, il s’est déjà hâté vers la sortie, lorsqu’il jette un œil oblique et distrait sur le bahut de la salle à manger … Il n’a pu retenir un tressaillement, tandis que son regard accroche et s’attarde sur l’une des photos encadrées qui garnissent le buffet. Fronçant les sourcils dans un tic qui lui est familier, il a marqué un temps d’arrêt. Ses hôtes de circonstance, sans comprendre, ont à leur tout dirigé leurs regards dans la même direction, sans cependant interpréter la réaction étrange du professeur. - La jeune fille, sur cette photo !... s’étonne ce dernier en se penchant sur le portrait. L'ombre d'une profonde tristesse est passée dans les yeux gris du vieil homme et son visage s’est subitement creusé. - C’est notre petite Sarah... murmure-t-il, en étouffant un soupir haché. - Elle nous a quittés il y aura bientôt trente ans ... Elle est décédée dans un accident de la circulation... complète la femme d’une voix rendue rauque par l’émotion, détournant presque aussitôt son regard... Elle venait d’avoir ses vingt ans. Elle repose dans le petit cimetière, près de notre maison. Cette fois, le professeur a haussé les sourcils ... Sans en demander l’autorisation, il s’est emparé du cadre renfermant la photographie qui représente une jeune fille au sourire moqueur et insouciant, assise en amazone sur une moto. - Ou votre fille a une sœur jumelle, ou... extrapole-t-il en hésitant, détaillant les Devaux d’un œil indiscret par-dessus ses binocles. Les intéressés ont échangé des regards interdits et Paul Devaux considère tout à coup Winter d’un air interloqué. - Nous n’avons eu que cette enfant... murmure-t-il, la lèvre inférieure légèrement tremblante en exhalant un nouveau soupir. - Que voulez-vous dire professeur ?... s’étonne à son tour l’épouse. Un embarras marqué s'est dessiné sur le visage de Winter qui examine à présent la photographie avec une attention soutenue. - Cela va certainement vous paraître absurde, mais la personne qui se trouvait tout à l’heure dans ma voiture ressemble à s’y méprendre à votre fille... finit-il par avouer avec une moue de tergiversation. La femme a pâli. Son époux a sursauté. Ils échangent maintenant tous deux des regards effarés. - C’est impossible... objecte ce dernier d’une voix étranglée et mal assurée... Vous avez... tente-t-il d’ajouter sans cependant pouvoir terminer sa phrase, ses yeux gris semblant implorer une explication. Le désarroi s’est manifestement emparé du couple, visiblement paralysé par l’émotion. Le coup a été rude et difficilement encaissable, accentuant l’embarras du professeur. Celui-ci se trouve à présent dans la plus totale expectative, regrettant amèrement d’avoir ainsi jeté le trouble dans la demeure pour avoir remué involontairement des souvenirs depuis longtemps enfouis et par trop pénibles à évoquer. - J’avoue toutefois qu’avec l’obscurité... argumente-t-il alors gauchement avec une maladresse quasi étudiée, conscient de cette équivoque et tentant à présent de se reprendre avec un frisson de regret dans la voix... Et puis, il est vrai que cette jeune personne est restée de marbre durant le trajet. Nous n’avons échangé que quelques brèves banalités ... Après tout, j’ai très bien pu me tromper ... Et si vous me dites qu’elle était votre unique enfant ... Pardonnez mon erreur... finit-il par bredouiller, visiblement contrarié de s’être fourré dans une situation aussi délicate. Puis, après un ultime instant d’hésitation... Il est temps que je reprenne la route... argumente-t-il en toussotant... Fort heureusement, il ne me reste qu’une douzaine de kilomètres d’ici Montségur. Ravi d’avoir fait votre connaissance... ajoute-t-il en esquissant un sourire gêné, saluant ses hôtes occasionnels d’une main tendue, masquant maladroitement sa déconvenue. Puis, sans plus se faire prier, il s’est dirigé vers la sortie, suivi du couple qui semble à présent agir à la façon de deux automates, absent et le regard lointain, vide de toute expression. Trempé de la tête aux pieds, le professeur Winter a repris place au volant de sa Jaguar. La mine dubitative, son regard erre d’abord au hasard, épiant les alentours de la propriété. Puis, il détaille les environs avec une attention soutenue, guettant l’hypothétique apparition de la mystérieuse et audacieuse jeune fille. Mais l’endroit reste désert. Plus qu’à son tour partie prenante pour les intrigues et dévoré par une curiosité quasi pathologique, une étrange intuition vient de lui traverser l’esprit ... Les époux Devaux lui ont bien précisé que leur fille était enterrée dans le petit cimetière contigu à leur habitation ! Celui-ci doit donc se trouver dans le voisinage. Il se gratte pensivement la nuque, la mine réfléchie, étouffant trois ou quatre bâillements. Puis, avec des gestes lents trahissant sa perplexité, il a allumé sa courte pipe et contemple durant un instant les volutes de fumée bleue qui s’étirent paresseusement vers le plafonnier, en tapotant machinalement le cuir de son volant. Notre homme est visiblement intrigué, hésitant encore sur la décision à prendre, mais qui maintenant s’impose malgré l’heure avancée ... Dehors, la pluie a cessé de tomber ... Après une dernière hésitation et bien qu’il ne soit pas loin de vingt trois heures, son sens inné de la curiosité finit par prendre le dessus. Aussi se décide-t-il brusquement à en avoir le cœur net. Après avoir emprunté une lampe électrique dans le vide-poches, il abandonne une nouvelle fois son véhicule pour longer les murs du parc des Devaux. Il n’a parcouru qu’une cinquantaine de mètres, qu’il est déjà rendu devant l’entrée du cimetière. Les grilles sont ouvertes, mais les lieux ne sont pas éclairés. La nuit est noire, épaisse et inquiétante, aussi se glisse-t-il comme une ombre dans l’allée menant aux tombes. La silhouette sombre des arbres et la brise un peu forte qui agite les branches qui bruissent dans les ténèbres créent une atmosphère angoissante. On ne perçoit plus que le léger bruit de son pas qui crisse sur le gravier. C’est le cœur battant la chamade, qu’il est arrivé en vue des premiers tombeaux. Les pinceaux de sa lampe fouillent fébrilement l’obscurité. Impressionné par le silence et la solitude qui règnent dans l’endroit, il inspecte minutieusement chaque sépulture, à la recherche de celle portant le nom de Sarah Devaux … Mais il vient de tressaillir à l’approche d’un tombeau ... Il en reste même figé de saisissement ... Une boule d’angoisse lui bloque la gorge ... Ce n’est pas le patronyme gravé sur la pierre qui en est responsable. C’est le vêtement de pluie qu’il vient de reconnaître pour être le sien et qui recouvre le caveau sur lequel il lit avec stupéfaction ... « Ici repose Sarah Devaux. » Mes autres histoires fantastiques sur : http://stephanlewis.kazeo.com/?page=rubrique&idr=0&pa=1
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    Dimanche 12 Avril 2009 à 17:46
    sa fait peur !!!!!!!!!!!
    !et oui la dame blanche sa fait tres tres peur
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    Piacenza
    Samedi 31 Octobre 2009 à 16:39
    demage :(
    C'est vrai que cette jeune femme a beaucoup souffert perdre son marie est un vrai calvaire surtout que c'était leur plus belle journée et que ca fini en cauchemar et malheuresement il faudrait qu'elle rejoigne la lumière pour rejoindre son marie et elle serai a nouveau heureuse mais grace a elle , elle nous evite de graves accident :) merci (l)
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    Piacenza
    Samedi 31 Octobre 2009 à 16:39
    demage :(
    C\'est vrai que cette jeune femme a beaucoup souffert perdre son marie est un vrai calvaire surtout que c\'était leur plus belle journée et que ca fini en cauchemar et malheuresement il faudrait qu\'elle rejoigne la lumière pour rejoindre son marie et elle serai a nouveau heureuse mais grace a elle , elle nous evite de graves accident :) merci (l)
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    fiona1101
    Lundi 30 Novembre 2009 à 08:07
    la dame blanche
    vous voyez je n'aime pas cette histoire mai je vais vous le raconter j'ai regarder sur l'ordinateur que claude François voyez la dame blanche je soir a quottais de lui alors il la dit a sa sœur elle lui a dit de mettre un verre de lait a coter il a essayer sa a marcher mais se fut sont dernier soir ou alors j'ai vu que la dame blanche est morte dans un virage.moi j'ai 10 ans alors voila j'ai un peu peur
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    fiona1101
    Lundi 30 Novembre 2009 à 08:07
    la dame blanche
    vous voyez je n\'aime pas cette histoire mai je vais vous le raconter j\'ai regarder sur l\'ordinateur que claude François voyez la dame blanche je soir a quottais de lui alors il la dit a sa sœur elle lui a dit de mettre un verre de lait a coter il a essayer sa a marcher mais se fut sont dernier soir ou alors j\'ai vu que la dame blanche est morte dans un virage.moi j\'ai 10 ans alors voila j\'ai un peu peur
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    omaima
    Mercredi 3 Novembre 2010 à 14:30
    la dame blanche
    c tro nul car je ne croi pa a la dame blanche
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    Chloé
    Lundi 25 Juillet 2011 à 17:51
    il ne faut pas avoir peur :)
    Il ne faut pas avoir peur si vous y pensait c sur que la ba vous voiyaient... Mais alors que si vous y pensait plus vous n'auraient plus peur je vous le dit moi je n'icroyait plus mais mais quand j'ai lut vos comentaire ba la g un peut peur !!
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    loubna
    Mardi 7 Août 2012 à 14:51
    dame blanche
    la dame blanche peut-etre quelle est gentil est seux quil veulle voire la dame blanche a minuit m'etait vous devans le miroir est disais 3 fois dame blanche en tournent est regarder derriere vous vous aller voir la dame blanche est elle vas crier ah! est elle vas vous faire peur est vous allez etre mort
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